Ressources en eau - page 13

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AlternativesBio

S’initier à l’agroécologie : mode d’emploi

Avis aux jardiniers en herbe, aux paysans et aux citoyens curieux : cet été, Basta! vous initie à l’agroécologie. Ou comment apprendre à se passer de pesticides, à dépenser beaucoup moins d’eau, à planter en hiver sans chauffer ses serres, à semer sans payer de redevances à l’agrobusiness, tout en produisant ce que l’on souhaite pour se nourrir. Visitez avec nous la ferme expérimentale de l’association Terre et Humanisme, installée au cœur de l’Ardèche, véritable laboratoire des techniques agroécologiques. Reportage et vidéos.

Par Agnès Rousseaux, Ivan du Roy

ÉcologiePollution

Faire passer une pollution industrielle pour du développement durable : l’exemple de ThyssenKrupp à Rio

À quelques kilomètres du centre de conférences où les gouvernements fanfaronnent sur les bienfaits du développement durable, les habitants du quartier de Santa Cruz subissent les impacts d’un vaste complexe sidérurgique allemand, financé par la banque nationale du Brésil. Après avoir pollué l’air et les eaux aux métaux lourds, détruit les écosystèmes locaux qui assuraient la subsistance de milliers de familles de pêcheurs, cette entreprise demeure éligible aux mécanismes de compensation promus à Rio+20. Reportage.

Par Jean de Peña, Sophie Chapelle

ÉcologiePollution

Au Chili, des villageois affrontent l’une des plus grandes fortunes mondiales

C’est l’histoire de villageois qui osent s’opposer à la plus riche famille du Chili. Après avoir asséché une vallée avec la construction d’une mégadécharge, le consortium minier Antofagasta, domicilié à Londres mais appartenant à la famille chilienne Luksic, intente un procès contre le comité de défense du village des Caimanes. Les villageois sont accusés d’ « association illicite » pour s’être opposés à la dévastation environnementale. Le procès débute le 7 juin.

Par Elif Karakartal

Débats

La privatisation de l’eau, un crime contre la terre et l’humanité

Alors que s’achève le Forum alternatif mondial de l’eau à Marseille, la Via Campesina réaffirme le droit à l’eau. Pour ce mouvement international qui rassemble des millions de paysannes et de paysans, de petits producteurs, de sans-terre, de jeunes du monde rural, ou de travailleurs agricoles, l’eau est un bien commun au bénéfice de tous les être vivants. Il doit être soumis à une gestion publique, démocratique, locale et soutenable.

Par Rédaction