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~(...)~violentes quotidiennes du moindre campement urbain par la police. Un bidonville posé sur un marécage dans~(...)~sombre panorama. Dimanche 20 septembre. Un nouveau mort Il venait de Syrie. Il venait d’arriver~(...)~

~(...)~visé. Au moins 12 personnes sont mortes dans le bombardement selon l’ONG~(...)~ on m’a dit que la police arrêtait des gens, et qu’ils~(...)~ a été touchés. Toutes sont mortes. Nous avons recueilli des témoignages ~(...)~

~(...)~une bataille qui fit 200 000 morts, les États-Unis prenaient le ~(...)~ combats, qui firent 200 000 morts au total, les États-Unis ~(...)~civils), selon des chiffres de la police. «Nous souhaitons que nos lois ~(...)~

~(...)~porte l’uniforme de l’armée, de la police ou de la gendarmerie. Notamment à verser ~(...)~réintégrés. « Nous, les soldats maliens, sommes des morts-vivants, répète sombrement Moussa. Depuis Aguelhok, on nous~(...)~

~(...)~ Paris deux sociopathes paumés commençaient leur œuvre de mort. «Le terrorisme n’a pas de religion» ~(...)~ les abandonne après 5 minutes au cri de « police, police ». À Belgrade, ils dorment d'abord dans un~(...)~

~(...)~d’éclairage public, plus de théâtre ou de police pour assurer la sécurité. Seule l’ambassade de~(...)~mars 2012, un attentat-suicide y fait quatre morts. Les journalistes locaux et les politiques sont ~(...)~

~(...)~ la foule applaudir au passage des fourgons de police. Où l’on aura défilé contre le terrorisme~(...)~ serait pour nos amis de Charlie une seconde mort » . Alors que le gouvernement annonce déjà vouloir ~(...)~

~(...)~les attentats, c’est que la police cherche les responsables et les mette~(...)~ qu’ils ont subies, les morts en Irak et en Syrie du~(...)~potentiels. Non seulement c’est la mort de la démocratie, mais cela ne~(...)~