Marie-Christine Vergiat : « Dès lors qu’un gouvernement dit “on accueille”, c’est possible »
~(...)~ de relocalisation des réfugiés qui étaient arrivés en Grèce principalement. Le plan était pourtant très en-deçà~(...)~
~(...)~ de relocalisation des réfugiés qui étaient arrivés en Grèce principalement. Le plan était pourtant très en-deçà~(...)~
~(...)~illégale. Les ONG poursuivies par le gouvernement conservateur grec En septembre 2020, la Commission européenne a annoncé~(...)~toujours de s’engager pour l’accueil, en Grèce, à Calais, dans la vallée de la ~(...)~
~(...)~'asile depuis les pays d'arrivée, essentiellement la Grèce et l'Italie, alors même que ces deux~(...)~
~(...)~'est dressée à la frontière terrestre entre la Grèce et la Turquie (en 2012), entre la Bulgarie~(...)~
~(...)~Lampedusa pour l'Italie ou Samos pour la Grèce, seraient devenues d'un côté des zones ~(...)~On voit bien comment, là aussi, le gouvernement grec pourrait redistribuer ces populations, essayer de débloquer l~(...)~
~(...)~'arrivée en Europe par la Méditerranée, devançant la Grèce. Beaucoup de ces nouveaux arrivants y déposent directement~(...)~
~(...)~ à des États défaillants « L'Italie, comme la Grèce, est en train de devenir un véritable territoire~(...)~
~(...)~«relocalisation» des réfugiés coincés en Italie et en Grèce vers les autres pays de l'Union européenne~(...)~plus urgente dans le contexte actuel, notamment en Grèce où, dans les hotspots comme celui de ~(...)~
~(...)~ la route des Balkans après son enregistrement en Grèce, mais dont la véracité du passeport syrien retrouvé~(...)~
~(...)~ catastrophiques, en Hongrie, en Serbie, ou en Grèce, dépassée par les arrivées sur son territoire. Plus~(...)~ par le quotidien britannique The Independant La Grèce a vu débarquer 288 000 réfugiés sur ~(...)~