L’introduction de cet article par Sylvain Laurens use d’une allégorie malheureuse : l’alignement de deux planètes. En géométrie euclidienne, par deux points on peut toujours faire passer une droite et une seule. De là à considérer qu’ils sont alignés, ou plutôt qu’ils puissent ne pas l’être… Ça (…)