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« Les raisins de la misère » : comment les grands crus du Bordelais prospèrent sur une pauvreté extrêmeLire la suite de «« Les raisins de la misère » : comment les grands crus du Bordelais prospèrent sur une pauvreté extrême»

, par jeremie ripoche

La solution ne se résumera pas en 4000 signes certes et le problème est complexe... * Cependant vous ne pouvez pas manquer que cet article fait un bon parallèle, dans la viticulture, avec celui là, du même jour : https://www.lemonde.fr/economie/article/2018/10/24/les-salaires-des-grands-patrons-fr