En France, le climatoscepticisme n’est pas mort - commentaires

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Je peux ajouter également :

Dans le même alinea, les journalistes assènent « Qu'importe que la réalité scientifique dise rigoureusement le contraire et que ces divers arguments ont déjà tous été démentis par... des scientifiques ».

drôle de manière d'inverser les priorités entre des données mesurées et des données de calcul dont le GIEC lui même reconnait qu'elles ont des lacunes dans la modélisation des phénomènes naturels

Et quand les scientifiques entretiennent des controverses, les journalistes ne devraient ils pas organiser des débats médiatisés plutôt que de donner des noms d'oiseaux à ceux qui formulent des objections à la pensée unique ?

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Je ne sais pas comment me classer. Je me mettrais plutôt du côté des réalistes qui essayent d'être lucides. Je ne suis pas expert, juste lecteur curieux et réfractaire aux pensées uniques et discours totalitaires
Je lis que les journalistes de ce site taxent les « climato faussaires » de poncifs tels que « la terre se réchauffe moins vite que prévu »
mes remarques sont :
a) un poncif est un lieu commun, une idée sans originalité (Robert). C'est donc un lieu commun, quelque chose de pas original de dire que la terre se réchauffe moins vite que ce que disent les simulations ; c'est donc le reconnaitre indirectement. Tiens donc !
b) en plus c'est vrai et ça se voit sans ambiguité quand on regarde et compile attentivement les graphes des rapports du GIEC et les températures mesurées issues de ses sources. en 2020 le réchauffement est au niveau de la marge la plus optimiste (la moins chaude) des simulations. J'ai fait l'exercice, je peux le montrer
c) alors que se passe il ? La terre est elle un mauvaise élève retors qui ne veut pas suivre ce qui est prévu par les éminents climatologues ? ou bien les simulations sont exagérément pessimistes (chaudes), et le restent en dépit de l'observation régulière de la divergence croissante avec les mesures ?

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Sophie chapelle, n'en est pas a son premier article sur le climatoscepticisme et pourtant, elle véhicule encore les mêmes bêtises et surfe sur le vague pour faire le buzz.
Des dons pour vous et votre journal, hors de question, faites du journalisme indépendant, pas çà et ce genre d'article ou renseignez vous un peu plus.
Le choix de la tête de Jean-Marie Le Pen pour illustrer votre article en dit long sur votre manière de traiter le sujet.
Encore en employant des termes comme climato-négationniste, bref, cet article est affligeant.
Les personnes remettant en cause les thèses officielles du grand groupe d'expert (entre nous, cherchez bien qui sont ces experts qui font légion dans la médiocrité et n'ont publiés que très peu dans les revues scientifiques, car incompétents) du GIEC sont des hérétiques c'est en quelques sortent ce que vous dites.
Ces mêmes experts qui avaient à l'époque décourager Mr Svensmark de faire son étude sur la relation entre les rayons cosmiques et la création des nuages. Théorie appuyée par le CERN quelques temps plus tard avec le projet CLOUD. Je m'intéresse à ce sujet depuis un peu plus de sept ans, mais dans votre article vous avez oubliez de parler de la catégories des carbo-centristes dont vous faites partie.
La mise en place d'un nouvel ordre mondial voulu par la majorité de nos dirigeants à besoin d'une cause pour rassembler les hommes et il a enfin trouvé le lien entre tous : la lutte contre le changement climatique.
Continuez avec ce type d'article à diviser encore les hommes qui n'en ont pour le moment pas forcement besoin.
Certes l'homme à réussi à complètement détruire et modifier la planète et ce depuis qu'il a commencé l'élevage. Il détruit maintenant toute forme de vie, avec des produits bien plus dangereux que le CO2.
La planète se remettra du cancer que j'appelle l'humanité, quelle porte sur son dos, d'une petite éruption ou d'un autre phénomène.
Vous avez cité Claude Allègre dans votre article qui parle d'écologie totalitaire, Par cette article vous vous faites l'ambassadrice de cette pseudo-écologie.
Pensez à bien trier vos déchets et achetez des vélos électriques pour amener vos chérubins à l'école montessori du village et penser bien à aller voter pour LFI.

Maintenant quelques questions :

Combien de temps l'église à fait croire que la terre était plate ?

Avez-lu le rapport du GIEC de 1999 sur l'aviation et l'atmosphère planétaire ?

Savez-vous quel est le premier gaz à effet de serre de notre atmosphère ?

Croyiez-vous que les personnes en haut de la pyramide du pouvoir où nous formons la base sont bienveillantes ?

Croyiez-vous que la majorité des médias appartiennent aux plus puissants ?

Salutation d'un climato-anarchiste

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Effectivement la tendance a l'augmentatione est nette : le niveau des 10 dernieres années est le plus élevés des 160 années d'observations...

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Il ne s'agit bien sur pas de réfuter un fait que tout le monde apprend en 1^e secondaire. Le probleme est justement que c'est un truisme qu'il est idiot de rappeler dans un contexte de changement climatique. Le CO2 est bon pour les plantes, personne ne le nie (voir plus bas les extraits du rapport du GIEC de 1995 qui prévoyait déjà l'augmentaion de la photsynthèse liée à l'augmenetation du CO2)...mais ca n'a rien a voir avec son effet sur le climat. Rappeler son role dans la photosythèse dans ce contexte, c'est un peu comme si vous rappeliez pompeusement à une victime d'inondation que l'eau est indispensable a la vie.

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

« les prises de parole de Greta Thunberg, ont réveillé des relents de climatoscepticisme chez certains, la plupart du temps âgés, absolument pas climatologue et souvent… des hommes. »
C'est précisément les prises de position de cette adolescente qui m'ont réveillé. Jusqu'à présent je buvais innocemment les paroles des « experts » sans vraiment m'interroger.
Découvrant qu'une gamine de 15 ans était ainsi portée (malgré elle) aux nues, que toutes les portes lui étaient ouvertes et que les grands de ce monde s'agenouillaient devant elle comme s'ils avaient découvert le messie j'ai compris qu'il y avait un loup !

En outre le discours des « réchauffistes » vis-à-vis des « sceptiques » sent l'anathème et a des relents malsains. Seul l'échange cordial est acceptable.

J'ai donc fait mes propres recherches, celles qu'auraient dû faire les nombreux médias qui colportent la doxa de Greta pour découvrir que cette enfant subie une manipulation incroyable :
– par une nébuleuse de groupes de pression écolo tels que We Don't Have Time, Global Utmaning, Green New Deal, Global Shapers, 350.org, Avaaz, Zero Hour, etc. ayant pour dénominateur commun un certain nombre de personnalités tels que l'ineffable Al Gore.
– par une mère écolo de la première heure et militante active au WWF (WWF Environmental Hero of the Year, 2017)
– elle subit un chaperonnage au plus près par la directrice de Greenpeace international, Jennifer Morgan (ex-Climate Policy Officer au WWF) pour l'accès aux réunions internationales « qui comptent » (Davos, World Economic Forum, COP xx etc.). Lisez attentivement les transcriptions des discours de Greta d'une manifestation à l'autre : c'est souvent une reprise mot pour mot d'un discours précédent.

En résumé cette enfant, qui possède une faculté de mémorisation importante ; faculté mise à profit pour engranger les discours à régurgiter, est utilisée pour de bases besognes politiques, car d'écologie il ne s'agit pas, mais la réalité est qu'il est question que de business.

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Lorsque la France veut vendre ses compétences nucléaires (pas d'émissions de CO2 dit-on !) rien de mieux que d'infiltrer la secte réchauffiste en y plaçant ses pions directement à la tête.

Jean Jouzel : Jean Jouzel, Directeur de recherches au CEA et directeur de l'Institut Pierre-Simon-Laplace jusqu'en 2008
Remplacé comme vice-président du GIEC en 2015 par :

Valérie Masson-Delmotte, directrice de recherche au CEA et co-présidente du groupe no 1 du GIEC depuis 2015. Elle est en outre co-auteur du rapport pour les décideurs avec en autre :

François-Marie Bréon : chercheur au Laboratoire des Sciences du Climat et de l'Environnement de l'Institut Pierre-Simon-Laplace (voir plus haut Jouzel) sous tutelle du CEA.

Ajoutons y les contributeurs-auteurs :
Philippe Ciais : directeur de recherche au labo des sciences et du climat de Saclay (CEA Paris-Saclay)
et
Olivier Boucher directeur de recherche au CNRS affilié à l'Institut Pierre-Simon-Laplace (sous tutelle du CEA entre autres).

Une équipe de choc pour vendre le nucléaire qui va nous sauver du méchant CO2
plus ici : http://dl.free.fr/b5V5tdMHn

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Pour tous les sceptiques qui pensent que le verdissement observé est une surprise : Cela fait 24 ans que le GIEC avait prévu de cet effet fertilisant du CO2 sur la photosynthèse et donc le stockage de carbone. Voir ici , rapport 1995, page 454 et 455, chapitre 9.3.2. : « Carbon dioxide fertilisation. » Le résumé du chapitre rappelle l'estimation de cet effet : « enhanced vegetation growth due to physiological effects of increasing CO2 (0.5-2.0 GtC/yr) » voir ici : https://www.ipcc.ch/site/assets/uploads/2018/02/ipcc_sar_wg_I_full_report.pdf

D'autre art, la lecture de l'article de Zhu ds Nature en 2016 nécessite une nuancée et approfondie : https://www.lemonde.fr/les-decodeurs/article/2019/06/21/pourquoi-le-verdissement-de-la-terre-n-est-pas-qu-une-bonne-nouvelle_5479913_4355770.htm

Enfin, selon une étude de 2018, le passage du verdissement au brunissmeent de la végétation, suite aux secheresses, commence a se marquer : « The increased browning trends resulted in a slowdown of the increase in global mean NDVI since the early 1990s. Since drought is likely the main cause of the increasing browning trends, global vegetation growth is at risk of reversal from long-term greening to long-term browning in the warmer future. » https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0034425718302396

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Les océans sont alcalins (basiques) et leur pH varie, selon les latitudes ; environ de 8,4 pour les basses latitudes à 7,8 pour les hautes latitudes, pour une raison simple : la loi de Henry dit que les eaux plus chaudes contiennent moins de CO2, donc les océans chauds dégazent et sont plus alcalins ;et inversement pour les eaux plus froides des hautes latitudes, dont le pH est environ de 7,8. Mais en tous les cas, jamais les eaux océaniques ne deviennent acides, et donc parler d'acidification est absurde.Notez que la propagande parle d'acidification pour justifier la peur de la disparition des coraux, alors que les eaux chaudes coralliennes sont davantage alcalines. Le Réel contredit les mensonges...

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Parce que cela me plaît et que cela vous déplaît...

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Et l'acidification des océans dû à l'augmentation de la concentration du CO2 atmosphérique, c'est bon pour la faune et la flore marines peut-être ? Faune et flore marines qui sont la base de la chaîne alimentaire terrestre...
Mais on n'est pas à ça prêt hein... L'océan c'est grand et on s'en fout un peu, ça ne se voit pas...

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Bonjour Monsieur BARDINET,

Pour appuyer vos propos, ce graphique très clair :

https://www.les-crises.fr/images/1300-climat/1355-consequences/cyclones-puissance-annuelle-atlantique.jpg

Et il n'émane pas d'un site climato-sceptique, loin de là !

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Bonjour
Sur le fond, répondrez-vous à Jean-Pierre BARDINET ?
Quid des erreurs de votre article quant au bénéfice du CO2 ?

Est-ce être climato-sceptique de considérer que le CO2 participe à la photosynthèse ?

En France, le climatoscepticisme n'est pas mort

Bonjour,

J'avoue que certaines bêtises écrites dans cet article m'ont fait hésiter entre colère et franche rigolade.

Apparemment, l'absence de rigueur scientifique ne touche pas que les climato-sceptiques : je viens d'apprendre que la photosynthèse était négative pour la planète.

On ne peut tout de même pas écrire n'importe quoi au nom de la lutte contre le réchauffement climatique :
Oui le C02 est un gaz à effet de serre et à ce titre pose des problèmes en participant au réchauffement climatique.
Mais non, à la base, il n'est pas nocif, puisque grâce à lui la planète reverdit.

Franchement, cet article mériterait d'être sérieusement réécrit s'il veut avoir l'air sérieux.

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Bonjour Jean-Pierre Bardinet. Pourquoi commenter cet article en vous retranchant derrière un pseudo ?

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« le CO2 est bon pour les plantes... la réalité scientifique [dit] rigoureusement le contraire et... ces divers arguments ont déjà tous été démentis par... des scientifiques ».
Ainsi donc la photosynthèse a été réfutée !
Enfin !!
Pouvez-vous m'indiquer les articles de Nature ou Science qui démontrent cela ?
Plus sérieusement, voici un vrai article de Nature qui dit « rigoureusement le contraire » de ce que vous affirmez : « Greening of the Earth and its drivers » https://www.nature.com/articles/nclimate3004.
Article collectif de 26 institutions universitaires qui affirment que l'effet de fertilisation du CO2 explique l'essor de la flore et le verdissement de la planète observé par la NASA ces 30 dernières années : https://www.nasa.gov/feature/goddard/2016/carbon-dioxide-fertilization-greening-earth.
Mais Nature, la NASA et ces 26 instituts font-ils partie de votre « réalité scientifique » ?
Sans doute pas.

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« Des phénomènes extrêmes qui se multiplient et s'intensifient aux quatre coins du globe » : c'est tout le contraire qui est vrai. Le CRED (Centre for Research on the Epidemiology of Disasters : https://www.cred.be/) de l'Université Catholique de Louvain gère, depuis 30 ans, une base de données reprenant tous les désastres naturels survenant sur la planète. Ces résultats sont repris, entre autres, par la FAO et l'Université d'Oxford (https://ourworldindata.org/natural-disasters).
Ils indiquent que depuis 20 ans :
le nombre de désastres naturels a diminué de 9% (-16% sur les 10 dernières années) ;
le nombre de morts et de personnes affectées est en forte diminution ;
le montant des dommages économiques, lié à l'intensité des désastres, ne montre aucun accroissement, au contraire.
Toutes ces données sont connues et faciles à trouver pour quelqu'un qui s'en donne la peine. Sans doute donc continuerez vous à répandre ce genre de fausses affirmations mais au moins vous ne pourrez plus le faire avec une conscience tout à fait tranquille.

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J'ai lu, j'ai bien compris que vous êtes des totalitaristes verts qui refusent toute controverse, qui pensent, à tort, qu'un consensus scientifique, réel ou imaginaire (ce qui est le cas en ce qui concerne le climat) a force de vérité (alors que les plus grandes avancées de la science ont été le fait de scientifiques qui ont cassé le consensus), je n'aime pas vos propos manipulateurs et haineux, vos basses attaques ad hominem, votre incompétence scientifique évidente, et donc je ne vous soutiens pas.

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« le CO2 est bon pour les plantes » : vous réfutez ce fait bien connu, donc cela confirme que vous n'y connaissez rien. Vous devriez en arler avec les cultivateurs sous serre : ils injectent du CO2 jusqu'à plus de 1000 ppm (le CO2 dans l'air est de 410 ppm, soit 0,041%) et cela est bénéfique pour les cultures. De plus, davantage de CO2 augmente la résistance des plantes aux stress hydrique et aux variations de température. Que vous ne saviez même pas cela confirme que vous vous situez dans un monde imaginaire, déconnecté du Réel.

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« Des phénomènes extrêmes qui se multiplient et s'intensifient aux quatre coins du globe » : Il faut avoir oublié l'éthique journalistique pour sortir cette contre-vérité sans prendre la peine de se documenter. L'indice ACE, qui mesure l'énergie cumulée des ouragans/typhons/cyclones/tempêtes est en diminution et il est revenu à son niveau des années 1975. Et puis, se documenter sur le passé permet d'éviter de sortir des âneries. Voir pages 21 et suivantes les événements climatiques intenses et dramatique en France : http://www.pensee-unique.fr/pasteau.pdf
Donc, de dérèglement climatique point... mais sans doute un dérèglement neuronal de nos vaillants alarmistes climatiques et de nos braves climato-crédules.