Des crèmes glacées à la qualité artisanale et au bon goût de... luttes sociales - commentaires

Des crèmes glacées à la qualité artisanale et au bon goût de... luttes sociales

"On peut juger de la grandeur d'une nation par la façon dont les animaux y sont traités."
Gandhi

Ce qui comprend les animaux non humains. Les vaches produisent du lait avant tout pour leur veau.

* Vincent Message : « Accomplir le projet inachevé des Lumières » : http://www.revue-ballast.fr/vincent-message/

Introduction : « Bien sûr, nous condamnons tous l'exploitation économique, le racisme, la domination masculine et l'homophobie. Bien sûr. Mais cette évidence de la lutte s'effondre dès lors qu'il est question des animaux : la dignité, bien sûr, mais seulement pour le petit cercle des humains. Les victimes de l'exploitation animale sont autrement plus nombreuses, pourtant, que celles causées par les abominations sus-mentionnées — on dira, offusqué, que ce n'est « pas pareil ». Ça ne l'est pas, en effet : les hommes oppriment au grand jour leurs semblables mais suppriment les bêtes à l'ombre — les sociétés industrialisées, supposément transparentes et hostiles à la violence, planquent leurs abattoirs. Ce mois-ci, plusieurs manifestations (à Paris, Kyoto, Sydney, Los Angeles ou Buenos Aires) ont exigé leur fermeture. Le romancier Vincent Message monte au front avec Défaite des maîtres et possesseurs : ses pages mettent en scène un futur proche, si proche qu'on peine à le situer, dans lequel l'Homo sapiens n'est plus l'espèce dominante. Une autre, « supérieure », traite les humains de la même façon que nous traitons les animaux au quotidien. Un roman, proche du conte philosophique, qui appelle à penser l'émancipation dans toute sa cohérence. »

* A lire aussi (entre autres) : Une utopie qui approche à grands pas : https://blog.l214.com/2016/05/07/utopie-qui-approche-grands-pas

Des crèmes glacées à la qualité artisanale et au bon goût de... luttes sociales

C'est une fois encore la preuve que pour prendre du plaisir à aller travailler rien ne vaut d'être investi dans la réussite de l'entreprise et c'est pour cela que les SCOP réussissent.
D'autre part les Scop paient leurs impôts ce qui n'est pas forcément le cas des entreprises qui utilisent « l'optimisation fiscale » et qui ont des filiales dans les pays à très faible fiscalité pour les sociétés.
Longue vie à cette belle initiative

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Je salue la réussite de cette coopérative, mais il est possible de faire encore mieux. Il suffit de socialiser tout le PIB afin de pouvoir verser des salaires à vie à tous les salariés, comme le prône le Réseau Salariat. Il faut savoir qu'actuellement 40 % du PIB est accaparé par ces parasites que sont les producteurs et créditeurs lucratifs. Si nous leur reprenons ces 700 milliards d'euros, non seulement nous pourrons verser les salaires à vie via une caisse des salaires (60 % du PIB), mais en plus financer l'investissement (30 % du PIB) et assurer la gratuité des services publics (10 % du PIB).