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Société

Séverine et Fabien, deux sans-abri en quête d’une vie sans squat

Coincés depuis plusieurs mois dans une existence de sans-abri, Séverine et Fabien se démènent pour sortir de la rue. Saisonniers dès qu’ils le peuvent, ils s’accrochent désormais à un futur sans squat. Mais le cercle est vicieux : pas de boulot stable, pas de maison ; pas de maison, pas de boulot stable. Depuis quelques mois le couple bosse chez Valérie, la propriétaire du domaine de Chastelet. La quadra s’est donné une mission : aider les amoureux à prendre leur envol. Un portrait signé par le média en ligne Sans A.

Par Clémence Lesacq et Martin Varret (Sans A)

DémocratieMesures liberticides

« Ici c’est l’Europe et tu n’as pas de famille, alors tu fais ce que je dis : tu te prostitues »

Anne a 27 ans, elle est originaire du Nigeria. Alors qu’elle vend des tomates sur un marché d’Abuja, elle est repérée par un réseau de proxénétisme. On lui promet un avenir meilleur en France, des études et un travail. Mais dès son arrivée à Paris en 2009, Anne est forcée de se prostituer pour une maquerelle du quartier Château Rouge. En 2013, elle parvient à lui échapper. Comme elle, plus de 80% des prostituées en France sont d’origine étrangère. La plupart d’entre elles sont victimes de réseaux de proxénétisme. Voici son témoignage sonore récolté par Sans A_, un journal en ligne qui a décidé de raconter la prostitution par ceux qui la vivent.

Par Sans A

DémocratieMesures liberticides

Maya, 20 ans : « Il nous faisait travailler la nuit, ensuite, quand je devais me reposer, il nous violait »

« Les associations, les assistantes sociales, m’ont toutes fermé la porte au nez. Ma famille m’a dégagée. Je n’ai pas eu le choix », raconte Maya, 20 ans. Parce qu’elle « n’avait plus rien », elle décide de se prostituer. Et tombe sous la coupe d’un mac qui la séquestre, avec d’autres filles, pendant plusieurs mois, empochant tout l’argent de leurs passes. Maya a pu s’enfuir et a décidé de porter plainte. Aujourd’hui à l’abri, elle revient sur son quotidien d’esclave sexuelle et sur les conséquences actuelles, notamment affectives, de ce traumatisme. Ce portrait de Maya a été réalisé par le média Sans A_, qui se donne pour mission de rendre visibles les invisibles.

Par Sans A

Société

Séverine et Fabien, deux sans-abri en quête d’une vie sans squat

Coincés depuis plusieurs mois dans une existence de sans-abri, Séverine et Fabien se démènent pour sortir de la rue. Saisonniers dès qu’ils le peuvent, ils s’accrochent désormais à un futur sans squat. Mais le cercle est vicieux : pas de boulot stable, pas de maison ; pas de maison, pas de boulot stable. Depuis quelques mois le couple bosse chez Valérie, la propriétaire du domaine de Chastelet. La quadra s’est donné une mission : aider les amoureux à prendre leur envol. Un portrait signé par le média en ligne Sans A.

Par Clémence Lesacq et Martin Varret (Sans A)

DémocratieMesures liberticides

« Ici c’est l’Europe et tu n’as pas de famille, alors tu fais ce que je dis : tu te prostitues »

Anne a 27 ans, elle est originaire du Nigeria. Alors qu’elle vend des tomates sur un marché d’Abuja, elle est repérée par un réseau de proxénétisme. On lui promet un avenir meilleur en France, des études et un travail. Mais dès son arrivée à Paris en 2009, Anne est forcée de se prostituer pour une maquerelle du quartier Château Rouge. En 2013, elle parvient à lui échapper. Comme elle, plus de 80% des prostituées en France sont d’origine étrangère. La plupart d’entre elles sont victimes de réseaux de proxénétisme. Voici son témoignage sonore récolté par Sans A_, un journal en ligne qui a décidé de raconter la prostitution par ceux qui la vivent.

Par Sans A

DémocratieMesures liberticides

Maya, 20 ans : « Il nous faisait travailler la nuit, ensuite, quand je devais me reposer, il nous violait »

« Les associations, les assistantes sociales, m’ont toutes fermé la porte au nez. Ma famille m’a dégagée. Je n’ai pas eu le choix », raconte Maya, 20 ans. Parce qu’elle « n’avait plus rien », elle décide de se prostituer. Et tombe sous la coupe d’un mac qui la séquestre, avec d’autres filles, pendant plusieurs mois, empochant tout l’argent de leurs passes. Maya a pu s’enfuir et a décidé de porter plainte. Aujourd’hui à l’abri, elle revient sur son quotidien d’esclave sexuelle et sur les conséquences actuelles, notamment affectives, de ce traumatisme. Ce portrait de Maya a été réalisé par le média Sans A_, qui se donne pour mission de rendre visibles les invisibles.

Par Sans A