Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence - commentaires

Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence

Par une erreur de manip de ma part, j'ai laissé sous cet article (« Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence », 19 décembre 2023 par Nolwenn Weiler) un message qui était en fait destiné à un autre article de la même autrice à la même date (« Notre-Dame : “Le nouveau toit en plomb émettra de grandes quantités de poussières toxiques” ») avec un point de vue plus historique des dangers sanitaires du plomb. Je ne sais comment ôter ici ce message (d'ailleurs en double), mais je vais le recopier sous l'article ad hoc.

Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence

Les grands coups de com' sont bien plus important que la santé de milliers de gueux.

Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence

Bonjour. À part un rappel historique intéressant, je ne vois pas la pertinence vis à vis de la cathédrale ?

Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence

Dans ce long article sur l'historique des dangers du plomb, étonnamment pas le moindre mot sur l'imprimerie, qui a pourtant fonctionné avec un mélange d'antimoine et de plomb depuis son origine, au milieu du XV^e siècle, jusqu'au dernier quart du XX^e, soit plus d'un demi-millénaire, les plus exposés au saturnisme dans cette branche étant les typographes (métier réputé) et les fondeurs de caractères (dont on ne parle quasi jamais). Curieuse lacune.

Notre-Dame : la pollution au plomb, une catastrophe passée sous silence

Dans ce long article sur l'historique des dangers sanitaires de cet élément, étonnamment pas le moindre mot sur l'imprimerie, qui a pourtant fonctionné avec un mélange d'antimoine et de plomb depuis son origine, au milieu du XV^e siècle, jusqu'au dernier quart du XX^e, soit plus d'un demi-millénaire, les plus exposés au saturnisme dans cette branche étant les typographes (métier réputé) et les fondeurs de caractères (dont on ne parle quasi jamais). Curieuse lacune.