Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer ! - commentaires

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

et aussi on parle pas beaucoup les animateurs celui qui tape les salles boulot pour les autre, on le remercie pas,mais sans les animateurs les infirmière pourront pas aller travailler car c'est nous qui garde leur enfant

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

bonsoir moi je travaille a la mairie de Villeparisis 77270 comme animatrice de périscolaire mais depuis le confinement ont nous fait travailler avec un roulement pour les employés hospitalier et policier ect ,mais les vacances commence a partir de lundi 06/04/20 ils nous sons mis a travailler 10 h part jour en sachant qu'il y a un seul inscrit et que l'enfant vient qu'une journée et les reste jour il y a pas eu des d'inscriptions , il nous donnons pas le choix ont et a 7 animateurs a travailler, notre coordinateur nous a dit hier soir qu'on auras pas de prime, alors je ne comprend pas pourquoi la commune veux pas fermée en sachant qu'il y a pas d'inscrit pendant les vacances avril , nous ont va passé la journée dans un centre a attendre pendant 10 h pour voir s'il y a des infirmières ou policier qui a besoin de déposer leur enfants a la dernier minute, première semaine 48 h de travaille 2 ème semaine 40 h ils sont mis les horaire de travaille comme si on effectué les heure des vacances alors qu'on a pas d'enfant au centre aérer, le maire de cette ville veux tout faire pour avoir des voie au prochain vote donc il nous font travailler pour rien pour être ré élus,
c'est juste pénible

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

Bonjour à tous,

J ai lu avec beaucoup d'attention votre article et je viens vers vous pour vous faire part du cas de ma femme qui est sous contrat à durée déterminée Unique (CDDU). Nous sommes dans une situation précaire et moi même suis actuellement avec un contrat CUI et travaille au sein du collège public de ma commune. Pour ma part, je sais que mon salaire de 699€ net pour 86:00 de travail sera versée.
Pour Madame c est une autre histoire...
Ma femme a signée un contrat avec une association, partage travail pour ne pas la nommée le 02 mars 2020 pour une période allant jusqu'au 10 avril 2020.
Ce contrat lui a été proposé pour travailler dans le même collège que moi et accordé par le Conseil Departemenal qui lui a signé un ordre de mission avec un devis pour prendre en charge son salaire.
A la fermeture des collèges annoncé par le Gouvernement, son employeur lui a signifié par téléphone de ne plus se rendre au collège et de rester chez elle jusqu'à nouvelle ordre.
Elle a demandée si son salaire sera maintenu mais aucune réponselui a été apportée !!!
A ce jour son employeur a fermé a son tour et demande d envoyer son ordre de mission de ou sont inscrits ses heures travaillées. Il va s en dire que nous savons aussi que le Conseil Departemenal a décidé de ne pas respecté le devis signé par eux même et donc de ne pas régler l employeur de ma femme.
Nous sommes donc déjà persuadé que l employeur ne respectera pas le contrat et ne paiera uniquement que le temps de travail effectué....
Pourriez vous nous confirmer que l employeur est dans l obligation de verser le salaire intégrale tel qu il se doit et, si possible l article du travail qui l oblige a cela car, nous nous devons de rédiger un AR a l employeur pour le mettre devant ses obligations si tel est le cas...
Beaucoup de recherches concernant les CDD Unique ont été faits mais rien de spécifique concernant le fait de travailler au sein d un collège public pa le biais d une association privé.
Vous remerciant par avance de nous avoir lu et attendons une réponse de votre part avec impatience...
Cordialement
Claudia Denis

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

Bonjour à tous,

Merci pour cet article très intéressant, malheureusement pour moi je ne trouve pas de réponse à mon cas.

Je vous explique, je suis en CDD depuis plus d'un an dans une entreprise en redressement judiciaire (le rj prends fin en juin) mon contrat se termine très prochainement, à savoir durant le confinement. Mon employeur nous a mis en chômage partiel depuis le 18 Mars jusqu'à au moins le 31 mars. Au vu de la situation actuelle, cela aura un impact important sur l'entreprise et donc le risque que je ne sois pas renouveler.
Mais dans ma situation actuelle, comment ça se passe pour les CDD arrivant à échéance, puisque les services administratifs de pôle emploi sont en fermé (les agences) et que ces démarches sont assez longues et nécessitent plusieurs démarches.
Un « gel » du contrat est-il possible ? Quels sont les droits mis en place en urgence pour ce type de cas ?

J'ai posée ma question sur plusieurs plateformes, auprès des services administratifs et mêmes les médias mais je reste sans réponse.

Je suis très angoissée, car je ne sais pas si je vais me retrouver sans ressources dans les prochaines semaines.

Si quelqu'un a une information je serai ravie de la lire.

Merci beaucoup et prenez soin de vous.

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

Bonjours,

Pensez-vous au intérimaires au contrat à la semaine qui trime pour toucher un revenue de 1000 euros par mois et qui au final reste enfermé chez eux par le confinement suite au entreprises qui ferme petit à petit ? Ebas non personne i pense faut savoir qu'on est beaucoup de jeune qui sont dans cette situation et qui touche aucun indemnité de chômage car le chômage ne veut pas faire des mesure de souplesse pour ceux qui ont presque atteint les 910 heure travailler faut savoir aussi qu'on nous disent qu'on doit rester chez nous alors que ses des congé forcer je dirais même des congé obligatoire nous ai attribué alors que le président Mr Macron à mentionné que les français ne serai en aucun cas en difficulté financière se mois de mars voir avril car plus le confinement devient sévère ou pas assez plus le temps du confinement continura de grimper voir 3 à 6 semaine donc pour faire court à tout ce que j'ai marquer les intérimaires se retrouve la tête sous l'eau se qui bosse encore (agent d'entretien ou autre ) on leurs donne rien faut pensez à eux aussi sur ce j'espère que sa aboutira car je souhaite à personne de se retrouver dans une situation dégradante courage à tout le monde qui supporte cette crises économiques .

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

La santé des travailleurs, qui sont, dans le cas de l'actuelle pandémie, surtout des travailleuses mérite bien mieux qu'une prime de 1000 euros.
D'abord, garantir la santé concrètement par des actes, du matériel.
Ensuite, on pourra parler de la rémunération de ces personnels : si on dit qu'ils/elles sont « essentiels » pour la vie de la nation, il faut en déduire qu'une revalorisation de leurs salaires mensuels est nécessaire.
Et beaucoup perçoivent le SMIC, voire moins quand elles travaillent à temps partiel (c'est le cas de beaucoup de caissières).
Il faudra demander des comptes.

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

Excellent article !
Il faudrait aussi insister sur le fait que le DROIT D'ALERTE, qui est le pendant du droit de retrait pour les représentants du personnel, est beaucoup plus protecteur que le seul droit de retrait : quand les employeurs menacent les salariés de suspension de salaire en cas d'usage de leur droit de retrait, il faut que les représentants de personnel usent de leur droit d'alerte...
La procédure du droit d'alerte contraint l'employeur à démontrer l'existence et l'efficacité de ses mesures devant le CSE (anciennement CHSCT)... Et en cas de désaccord avec les représentants du personnel, c'est l'inspection du travail puis le tribunal qui tranche (en urgence...).
L'avantage, c'est que, même si (sous la pression) les salariés continuent de travailler, 1°) la responsabilité de l'employeur est engagée ; 2°) on a une bonne chance de voir l'inspection ou la justice imposer à l'employeur les mesures adéquates...

Pendant l'épidémie et le confinement, le droit du travail continue de s'appliquer !

Bonjour,

Le Président l'a dit : « Nous gagnerons, mais cette période nous aura beaucoup appris. Beaucoup de certitudes, de convictions seront balayées, seront remises en cause. Beaucoup de choses que nous pensions impossibles adviennent (sic) . (…) le jour d'après, quand nous aurons gagné, ce ne sera pas un retour aux jours d'avant ».

Et si nous lui répondions : "Chiche ! Nous allons recenser toutes les aspirations au changement, toutes les propositions de changements, que la crise générée par l'épidémie aura suscitées. Nous allons les classer, les analyser, les hiérarchiser et les faire remonter au Président, au Gouvernement, aux Parlementaires, à toutes les institutions et corps constitués du pays."

Mais nous allons surtout les faire circuler au sein de la population du pays tout entier pour qu'elle s'en empare et organise elle-même les changement auxquels elle aspire.

C'est pourquoi nous pourrions lancer cet appel, et demander à tous de le faire circuler tout autour de soi tel un bon et utile virus, aussi efficacement et rapidement que l'a fait le méchant Covid-19 : "Connectez vous ICI et exprimez-vous librement, mais surtout déposez les propositions concrètes qui vous tiennent à coeur, des plus modestes aux plus ambitieuses !"

Des propositions qui, en tous cas changeraient vraiment votre vie au quotidien et celles de vos enfants, qui tiendraient enfin compte de l'intérêt général et pas de celui des 1% qui nous dirigent et qui décident de tout, en se moquant bien d'un Parlement qui ne sert plus qu'à changer des virgules dans les textes de loi dictés au gouvernement par leur petite minorité d'ultra-riches.

Pas besoin de se casser la tête : on écrit ce qui vient à l'esprit, comme ça vient.
Ne surtout pas se sentir illégitime, ignorant, impuissant et se comparer aux crânes d'oeuf de l'ENA, de l'Inspection des Finances et de Polytechnique qui nous gouvernent ...avec la réussite que l'on sait.
C'est comme cela qu'ont été rédigés les Cahiers de Doléances avant le début de notre Révolution Française.

Mais ce pourraient être plutôt, cette fois-ci, les "Cahiers pour les jours d'après", parce que des Cahiers de Doléances s'adressent à quelqu'un (ou quelques uns) dont on attend quelque chose alors que désormais, par précaution, il nous semble, 231 ans après, que c'est A NOUS TOUS de faire nous-mêmes ce que nous avons à faire pour que ça change comme NOUS le souhaitons.
De ce fait les propositions pourront aussi concerner les moyens à se donner pour mettre en oeuvre le processus de changement, sans l'attendre une fois de plus "d'en haut".

Souvenons-nous de ce qu'avait écrit, il y a cinq siècles, Etienne de LA BOETIE : "Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux".

BASTA ! pourrait-il s'associer avec d'autres média (Monde Diplo, Reporterre, Alternative Libertaire, etc...) pour diffuser cet appel