Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l’endettement - commentaires Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2017-04-08T22:32:28Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment6554 2017-04-08T22:32:28Z <p>Je dis bravo à ces deux éleveurs et souhaite que d'autres puissent réussir leur installation. En réponse au commentaire ci-dessus, je me permets de vous demander dans quel secteur travaillez-vous ? Auriez-vous honte de votre métier pour n'en point parler alors que vous venez dénigrer le travail des autres ?</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2017-04-08T22:20:37Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment6553 2017-04-08T22:20:37Z <p>Je dis bravo à ces deux éleveurs. En réponse au commentaire ci-dessus, je me permets de vous demander dans quel secteur travaillez-vous ? Auriez-vous honte de votre métier pour n'en point parler et dénigrer le travail des autres ? C'est par cela que vous auriez dû commencer contrairement à ces deux éleveurs qui ont pris le temps de raconter leur aventure de vie ! Les grands patrons de l'industrie ont démantelé notre secteur industriel, on peut supposer que vous êtes issu d'un autre lobby souhaitant supprimer des emplois dans la filière agricole. Par quoi les remplacerez-vous ? Par les imposteurs du psycho-spirituel qui vous dirigent et vous poussent à vous installer dans le plus petit village, dans tous les quartiers ? Par des ramasseurs de cadavres des animaux qui vont errer n'importe où lorsque vous aurez réussi à imposer vos dogmes ?<br class="autobr"> Les chats, les vautours, les baleines, les aigles, les orques, les goélands, quand allez-vous leur faire la morale ? Derrière un discours qui se veut rationnel il y a des tas de présupposés et de conventions tout à fait arbitraires, qui relèvent de la morale ou du dogme (choisissez votre définition). De plus, il existe dans la nature (qui n'est pas forcément un modèle je le reconnais) des relations qui ne sont pas qu'exploitation ! Des symbioses, on en connait beaucoup et il n'y a pas de raison pour que les animaux domestiques et les hommes n'en développent pas. Pourquoi se priver de la laine de mouton par exemple ? Ou du cuir d'une vache morte de sa belle mort ? Ce sont là des postures idéologiques proches de celles des religions, et aucunement un discours scientifique. Les mêmes règles que nous voudrions pouvoir appliquer aux religions doivent s'appliquer au discours vegan. Je rêve de voir toutes les vaches libérées dans une nature (qui ne seraient plus gardées par l'homme puisque vous lui interdisez l'élevage), une nature sans clôtures avec vaches, taureaux, veaux, chevaux, poules, lapins risquant de se faire tuer par les véhicules (vous avez oublié de les condamner, les véhicules mortifères à essence...) en tuant les enfants, leurs parents accidentés, les jeunes sur les scooters, oui, je rêve de voir ces animaux à cornes vous botter les fesses et aussi empoisonner l'eau que vous et vos enfants boiront plus tard quand votre rêve sera réalisé parce que les cadavres de tous les animaux enfin libres infesteront la nature, les champs, les jardins et pourriront jusque devant votre porte même dans les villes qui seront envahies. Cela sentira la même odeur qu'en Inde, parce qu'un grand nombre d'entre vous sont dans la croyance religieuse en la réincarnation. C'est une des raisons cachées du veganisme. Vous voulez que l'Inde vienne jusqu'à nous. Allez donc y vivre au milieu des vaches sacrées si vous avez du cran. Allez manger votre tofu transgénique en respirant les odeurs de l'Inde et laissez les gens honnêtes travailler dignement. Le métier de marin-pêcheur est le plus dangereux des métiers avec celui des marins qui travaillent sur les porte-conteneurs géants. Croyez-vous qu'ils ont le choix ? Qu'avez-vous donc à proposer comme emploi aux éleveurs, aux marin-pêcheurs ? Donnez-nous donc des pistes au lieu de rester en marge de toute réalité...</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2017-04-08T22:06:23Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment6552 2017-04-08T22:06:23Z <p>Derrière un discours qui se veut rationnel il y a des tas de présupposés et de conventions tout à fait arbitraires, qui relèvent de la morale ou du dogme (choisissez votre définition). De plus, il existe dans la nature (qui n'est pas forcément un modèle je le reconnais) des relations qui ne sont pas qu'exploitation ! Des symbioses, on en connait beaucoup et il n'y a pas de raison pour que les animaux domestiques et les hommes n'en développent pas. Pourquoi se priver de la laine de mouton par exemple ? Ou du cuir d'une vache morte de sa belle mort ? Ce sont là des postures idéologiques proches de celles des religions, et aucunement un discours scientifique. Les mêmes règles que nous voudrions pouvoir appliquer aux religions doivent s'appliquer au discours vegan. Je rêve de voir toutes les vaches libérées dans une nature qui ne serait plus entretenue par l'homme puisque vous lui interdisez l'élevage, une nature sans clôtures avec vaches, poules, lapins risquant de se faire tuer par les véhicules (vous avez oublié de les condamner, les véhicules mortifères à essence...) en tuant les enfants, leurs parents accidentés, les jeunes sur les scooters, oui, je rêve de voir ces animaux à cornes vous botter les fesses et aussi empoisonner l'eau que vous et vos enfants boiront plus tard quand votre rêve sera réalisé parce que les cadavres de tous les animaux enfin libres infesteront la nature, les champs, les jardins et pourriront jusque devant votre porte même dans les villes qui seront envahies. Cela sentira la même odeur qu'en Inde, parce qu'un grand nombre d'entre vous sont dans la croyance religieuse en la réincarnation. Vous voulez que l'Inde vienne jusqu'à nous. Allez donc y vivre au milieu des vaches sacrées si vous avez du cran. Allez manger votre tofu transgénique en respirant les odeurs de l'Inde et laissez les gens honnêtes travailler dignement. D'ailleurs, dans quel secteur travaillez-vous ? Auriez-vous honte de votre métier pour n'en point parler et dénigrer le travail des autres ? C'est par cela que vous auriez dû commencer - au lieu de vous dissimuler - contrairement à ces deux éleveurs qui ont pris le temps de raconter leur aventure de vie ! Les grands patrons de l'industrie ont démantelé notre secteur industriel, on peut supposer que vous êtes issu d'un autre lobby souhaitant supprimer des emplois dans la filière agricole. Par quoi les remplacerez-vous ? Par tous les imposteurs du psycho-spirituel qui vous dirigent et s'installent dans le plus petit village ? Par des ramasseurs de cadavres des animaux divagant n'importe où ? <br class="autobr"> Les chats, les vautours, les baleines, les aigles, les orques, les goélands, quand allez-vous leur faire la morale ?</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2016-07-09T13:02:38Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment5552 2016-07-09T13:02:38Z <p>J'ai peut-être raté un article, mais depuis que je vous suis, j'ai jamais vu traiter le sujet animale de manière suffisamment sérieuse, au sens de prendre au sérieux la vie animale et non comme un objet de consommation, même bien traité.</p> <p>Le seul article qui a tenté d'aborder le fond sur le sujet que j'ai lu sur votre site, était un article plus ou moins à charge très contestable, où il y avait à y redire.</p> <p>J'apprécie votre engagement, votre indépendance, mais sur ce genre de « dossier », je reste sur ma faim. Et j'y vois un reflet d'une dépendance à une forme de doxa. A une ligne éditoriale qui campe sur ses préjugés.</p> <p>Chacun est certes dépendant de sa subjectivité, mais comme l'a dit un président du GIEC : « Je pense maintenant qu'outre les problèmes environnementaux, il y a une cause plus importante à défendre, celle du respect de la vie. »</p> <p>Car si l'idée pourrait être porteuse, en dehors du fait que je doute qu'elle soit généralisable à grande échelle sans remettre en question de manière plus globale, du fait de l'effet boule de neige qui n'est pas mesurable par l'expérimentation, l'expérience comme ça, il y a l'aspect éthique etc. qui n'est pas vraiment abordé.</p> <p>Trêve de claviardage.</p> <p><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> <strong>Vincent Message : « Accomplir le projet inachevé des Lumières » : <a href="http://www.revue-ballast.fr/vincent-message/" class="spip_out" rel='nofollow external'>http://www.revue-ballast.fr/vincent-message/</a></strong></p> <p>Extrait : Bien sûr, nous condamnons tous l'exploitation économique, le racisme, la domination masculine et l'homophobie. Bien sûr. Mais cette évidence de la lutte s'effondre dès lors qu'il est question des animaux : la dignité, bien sûr, mais seulement pour le petit cercle des humains. Les victimes de l'exploitation animale sont autrement plus nombreuses, pourtant, que celles causées par les abominations sus-mentionnées — on dira, offusqué, que ce n'est « pas pareil ». Ça ne l'est pas, en effet : les hommes oppriment au grand jour leurs semblables mais suppriment les bêtes à l'ombre — les sociétés industrialisées, supposément transparentes et hostiles à la violence, planquent leurs abattoirs. Ce mois-ci, plusieurs manifestations (à Paris, Kyoto, Sydney, Los Angeles ou Buenos Aires) ont exigé leur fermeture. Le romancier Vincent Message monte au front avec Défaite des maîtres et possesseurs : ses pages mettent en scène un futur proche, si proche qu'on peine à le situer, dans lequel l'Homo sapiens n'est plus l'espèce dominante. Une autre, « supérieure », traite les humains de la même façon que nous traitons les animaux au quotidien. Un roman, proche du conte philosophique, qui appelle à penser l'émancipation dans toute sa cohérence.</p> <p><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> <strong>A lire sur ce même site : « <i> Le combat animalier est frère des combats d'émancipation et de libération</i> »</strong></p> <p><span class="spip-puce ltr"><b>–</b></span> Une réponse d'un auteur à ceux qui osent parler - par méprise, par sophisme - du concept de la « viande heureuse » : <strong> <i>Une utopie qui approche à grands pas</i> : <a href="https://blog.l214.com/2016/05/07/utopie-qui-approche-grands-pas" class="spip_out" rel='nofollow external'>https://blog.l214.com/2016/05/07/utopie-qui-approche-grands-pas</a></strong></p> <p>Bonne continuation.</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2015-11-19T10:59:07Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment4340 2015-11-19T10:59:07Z <p>Sur le marché de mon village il y a une dame qui fait de l'agriculture biologique depuis des années, c'est la seule et bizarrement c'est le stand, petit, devant lequel il y a toujours la queue, elle vend tout à chaque fois.<br class="autobr"> Mais ce n'est pas l'intérêt de l'agro-industrie qui possède de puissants lobbys afin d'influencer les gouvernants à produire de la bouffe de merde.</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2015-11-05T18:50:54Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment4287 2015-11-05T18:50:54Z <p>Article intéressant et vrai aussi en Bretagne ( qui produit la majorité des porcs industriels en France). Des élevages en bio, sur paille, de petite taille vivent très bien. J'ai fait un film sur le sujet ( tourné dans les côtes d'Armor) et je viens aussi d'écrire pour l'exposition « Le cochon une histoire bretonne ». Aujourd'hui ce sont surtout les gros élevages qui sont étranglés financièrement ( et qui demandent des aides pour encore grandir).</p> Pourquoi les petits élevages porcins bio ne connaissent ni la crise ni l'endettement 2015-11-04T20:22:54Z https://basta.media/pourquoi-les-petits-elevages-porcins-bio-ne-connaissent-ni-la-crise-ni-l#comment4283 2015-11-04T20:22:54Z <p>Il y'a des gens qui n'ont pas de travail. il y 'a des consommateurs qui ont de l'argent pour acheter les produits. Il y a des fermes à prendre en bio qui malheureusement repartent à la chimie faute de preneurs. On peut démarrer petit, avec le statut cotisant solidaire, sans investissement lourd, en augmentant d'année en année, en location, avec quelques volailles et lapins, quelques porcelets ou moutons, une vache ou quelques chèvres pour le fromage, comme dans la chanson... Personne ne vous interdira de travailler, au contraire ! Et le seul patron, c'est le boulôt. Beaucoup de réfugiés se jetteraient sur l'aubaine, dans notre pays de luxe...</p>