Limites et frontières : là où finira notre civilisation - commentaires Limites et frontières : là où finira notre civilisation 2015-10-15T07:12:10Z https://basta.media/limites-et-frontieres-la-ou-finira-notre-civilisation#comment4142 2015-10-15T07:12:10Z <p>La décroissance ne veut pas dire <i>« abandonner de plein gré son minimum confort occidental »</i>.</p> <p>C'est aller au contraire vers plus de confort : développer et partager des moyens intelligents de confort dans son habitat, son environnement, sa rue, son quartier, sa ville, créer plus de confort matériel, social, intellectuel, spirituel, artistique...comme vous trouverez un tas d'exemples dans la rubrique INVENTER de Basta!<br class="autobr"> Ca, je crois que que <i>« psychologiquement »</i>, un paquet de gens le veulent. Certainement pas, vous avez raison, la vie de <i>« réfugiés »</i> qui n'a rien à voir avec la décroissance : ne diffusez pas, s'il vous plaît, cet amalgame.</p> <p>Je ne dis pas que c'est simple de tendre collectivement vers ça : c'est largement possible mais probable que cela se fasse par étapes...</p> Limites et frontières : là où finira notre civilisation 2015-10-13T20:57:48Z https://basta.media/limites-et-frontieres-la-ou-finira-notre-civilisation#comment4138 2015-10-13T20:57:48Z <p>Bon alors qu'est-ce qu'on fait ? Les petits gestes : pisser dans le lavabo, garder les sachets pour le pain, les légumes et les fruits, les boîtes pour le fromage et la viande, etc..., rouler à vélo avec une remorque derrière, dormir avec des bouillottes plutôt que chauffer la chambre, ne chauffer qu'une seule pièce-refuge dans la maison. On la connait la solution : avoir un mode de vie sans impact sur la planète, comme celui d'encore tellement de gens actuellement, en Afrique-Asie-Amérique-Océanie, et même en Europe ( pas des bobos, non, des vieux paysans-vestiges bien dans leurs habitudes), retourner à la terre, en acceptant l'incertitude des récoltes, le prédatisme sur le bétail, voire les razzias des prédateurs humains. Qui d'entre les lecteurs de Basta! sera prêt un jour, matériellement mais surtout psychologiquement, à abandonner de plein gré son minimum de confort occidental bien pensant ? Ce qui est sûr dés maintenant, c'est que même si on le voulait, on n'aurait plus le temps. Demandons aux réfugiés ce que signifie le mot DECROISSANCE. Eux savent. Et l'Atlantique sera peut-être pour nous encore plus dur à traverser que pour eux la Méditerranée. Mais bon, la vie est éternelle, non ?</p>